Série de meurtres à Montreal : un fou d’Allah

De notre correspondant au Québec. – Mercredi le 4 août, la police de Montréal annonça la découverte deux meurtres, suivis quelques heures...
C’est une décision de la cour européenne des droits de l’homme qui crée un très inquiétant précédent et fragilise encore un peu plus les pays européens face aux flux migratoires.
Elle fait par contre évidemment la joie des multiples associations xénophiles et pro-migrants qui espèrent qu’elle fera jurisprudence dans d’autres affaires de refoulement d’immigrés illégaux.
Rappelons les faits : Le 20 janvier 2014, un bateau de pêche transportant 27 migrants avait chaviré au large de l’île grecque de Farmakonisi, près des côtes occidentales turques : 11 personnes dont huit enfants périrent. Suite à ce drame, la CEDH, qui siège à Strasbourg, a condamné le 11 juillet dernier la Grèce pour ce naufrage expliquant que, d’après les requérants, «le navire des garde-côtes grecs aurait navigué à une très grande vitesse pour refouler les réfugiés vers les côtes turques, ce qui aurait provoqué le chavirage du bateau». De son côté, Athènes affirmait que «l’embarcation était remorquée vers l’île de Farmakonisi pour secourir les réfugiés et le chavirement du bateau a eu lieu en raison de la panique de ses passagers».
Quant à la responsabilité des passeurs qui organisent ces filières criminelles et des militants d’extrême-gauche et de leurs relais médiatiques qui incitent à la migration, il n’en est évidemment pas fait état.