Macron : « Je ne laisserai pas le Liban disparaître »

Dans une interview à « L’Orient-Le Jour », E. Macron rejoue la comédie de ses deux visites consécutives au Pays du Cèdre...
Il boit pas, il fume pas (sauf le cigare) mais il cause, il cause… Lui qu’est complètement cuit et qui se prends pour le roi, et puis qui balbutie, et qui a l’œil qui divague comme chez ces gens-là. Marine Le Pen constate qu’après cent jours de second règne, Macron n’a rien impulsé, n’a rien fait. « Rien, zéro, la bulle ! » Et c’est presque mieux comme ça puisque, comme se gaussait le président Donald Trump, « tout ce que touche Macron se transmute en merde » (shit). Alors il gesticule, se déguise avec un béret, il chante (mal) avec les pépés pyrénéens, il jacte, il fait le zouave en Afrique pour dire aux différents dirigeants de cet immense continent combien ils sont hypocrites et corrompus (sans doute pour s’en faire des amis), au moment même où Serguei Lavrov, l’indéboulonnable et placide chef de la diplomatie russe, y faisait une tournée triomphale — et des affaires florissantes.
Ce président bavard, creux comme un navet est de plus en plus obsolète, ridicule, odieux, surfait, grotesque, imbuvable, louis-philippard (c’est-à-dire libéral pour les grossiums et répressif envers les petits, les sans-grades, les Gilets jaunes) ; il nous déshonore, nous fout la honte et le traczir à l’étranger. Il est insulté sur les chaînes de télévisions africaines, traité de bon à rien, de vaut-rien, de banquier, de fossoyeur cupide. Il est humilié par un honorable ministre béninois détestant les familiarités tactiles. Il sourit, il est content, il toise, il raconte n’importe quoi, que l’économie russe ne vaut plus un coup de cidre par exemple (avant que le cours du rouble ne soit au plus haut et notre euro à parité et bientôt en dessous du dollar), que sa femme ne s’appelle pas Maurice, des inepties, des bulles !
Inaudible, hautaine, grimacière, inutile, ainsi se comporte notre coquecigrue nationale. Cela ne pourra pas durer encore cinq ans. Boris Johnson et Mario Draghi sont déjà partis.